Bonjour les culturiens (les amoureux de l’art et de la culture camerounaise), très certainement comme nous, vous ressentez cette flamme sportive animée par le Chan 2020.
Depuis quelques jours, nous vibrons tous au rythme de cette compétition sportive qui se joue depuis le 16 janvier 2021 en terre camerounaise. Prévu au départ du 04 au 25 avril 2020, le Chan va subir les mauvaises vagues de miss corona, mais ne va pas se laisser abattre pour autant. La compétition de football subira un report pour le 16 janvier au 07 février 2021 et rien de plus.
Ainsi, c’est la toute première compétition sportive sur le sol africain en cette période de crise sanitaire. Les mesures sanitaires doivent être respectées scrupuleusement pour que la compétition puisse se dérouler de la meilleure des façons qui soit sans nouvelle vague de contamination.
Dans ce billet de blog, je vous amène dans les rues de la ville de Dschang, afin qu’ensemble nous observons comment se vit cette compétition sportive par les fanatiques de football et autres en période de crise sanitaire. Le football sans doute est le sport qui rassemble le plus de personnes et déchaîne les passions, même si aucun des matchs du Chan 2020 ne se joue à Dschang, ce n’est pas pour autant que les populations ne semblent pas impliquées. Les étudiants de la ville suivent la compétition comme si c’était un devoir de contrôle continu.
Dans les bars, l’affluence est constante que ce soit pendant un match du Cameroun ou pas. À l’entrée de certains bars, de l’eau et du savon, la règle est simple toute personne souhaitant regarder le match dans l’enceinte du bar doit se laver les mains avant d’entrer, maintenant pour ce qui est de la consommation chaque bar à sa politique.
À l’entrée campus principalement fréquenté par les étudiants la politique en termes de mesure barrière, est de ne pas laisser d’étudiant regarder le match debout, question ne pas prendre plus de personnes que la salle ne peut accueillir.
Rihanno Mars