La célébration de la 30ème édition de la journée de l’enfant africain au Cameroun, se tient sous le spectre de la pandémie sanitaire mondiale du covid-19.
Cette énième journée de l’enfant africain, se tient sous le respect des règles de distanciation sociale pour limiter la propagation du covid -19. Néanmoins, la crise sanitaire ne constitue pas un frein pour les enfants exerçants des petits commerces, tous les carrefours de la capitale camerounaise et les marchés sont liés aux enfants livrés à eux-mêmes. Arborant sur les têtes des plateaux d’arachides, des seaux contenant des bouteilles d’eaux glacées, des plateaux de friandises et tout récemment avec publié du covid-19 des masques de fabrications artisanales les enfants se faufilent dans les sentiers battu’argent.
Avec l’assouplissement des mesures de confinement, et la rentrée scolaire prévue pour le 5 octobre 2020, de milliers d’enfants sont versées dans les rues de la capitale camerounaise et dans les marchés pour se faire de l’argent et participer ainsi aux autres différentes charges de la maison. Malgré les mises en garde du gouvernement, et les mesures prises pour garder un maximum d’enfants dans les familles en réouvrant les écoles seulement pour les classes d’examens, certains parents ont trouvé le moyen d’occuper les enfants en offrants des petits fonds de commerce pour participer aux différentes charges de la maison et également pour se faire un peu d’argent de poche. Les conditions de vie difficiles, l ‘ extrême pauvreté des populations et contexte économique actuel du Cameroun sont des raisons qui poussent certains parents à envoyer les jeunes enfants dans les rues malgré les différents dangers; cela sous le mépris du respect des règles de distanciation sociale pour se protéger du covid-19. Avec le nombre de contamination au covid -19 qui augmente au jour le jour, ses enfants livrés à eux-mêmes restent l’un des canapés sociaux les plus exposés au covid-19. Le gouvernement semble avoir laissé ses enfants face à leur destin tout en sachant que sur eux plan le spectre de la mort qui continue de faucher des vies. ses enfants livrés à eux-mêmes restent l’un des canapés sociaux les plus exposés au covid-19. Le gouvernement semble avoir laissé ses enfants face à leur destin tout en sachant que sur eux plan le spectre de la mort qui continue de faucher des vies. ses enfants livrés à eux-mêmes restent l’un des canapés sociaux les plus exposés au covid-19. Le gouvernement semble avoir laissé ses enfants face à leur destin tout en sachant que sur eux plan le spectre de la mort qui continue de faucher des vies.
Le covid-19 ne viendra pas changer la banale habitude de ses jeunes enfants habitués à exercer des petits commerces pour la survie de leurs familles et pour leur propre survie. On ne peut que les remettre sous la protection du grand Dieu, et croiser les doigts que le gouvernement prenne des mesures sévères pour éradiquer ce phénomène dans notre société.
